Le mariage
- Historique - Introduction
- Historique
Le groupe a libéré une fille encore intacte, Cianikh (Xianikè) des cages de Griperne. Cette fille est tombée amoureuse
du rôdeur du groupe et a voulu revenir dans le groupe : une lettre est
arrivée au rôdeur demandant d’éduquer Cianikh,
il a accepter. Depuis, elle est montée en niveau grâce au rôdeur (Sonny).
- La lettre
« Après avoir libéré ma fille, vous lui avez plu.
Elle a donc voulu avoir le même métier que vous. Puisque votre métier est fort
honorable, je vous l’ai envoyée & aussitôt vous avez souhaiter la prendre
en charge. Mais la véritable intention de ma fille était de vous avoir comme
mari.
Comme vous n’êtes pas noble, j’ai eu du mal a accepter
son amour. Mais vos actes pour notre pays valent beaucoup plus que des titres
de noblesse. Je ne vois donc aucun problème pour vous proposer ma fille Cianikh en mariage.
Je souhaiterai que le mariage se passe ce printemps.
Aline
Cousine du roi »
- L’entrée de la salle de mariage
Le mariage se déroule dans ‘Port des Rois’, le cadre est
superbe. Le mariage se passera en présence de prêtre d’Athéna et Aphrodite. Le
premier ordre représente la famille royale et le second le mariage et la
fécondité. La cérémonie se déroule dans une unique salle à l’intérieur d’un
palais. Une partie de la salle, séparée par des tentures, servira d’abord pour
l’office religieux et sera ensuite vidée. Avec le groupe d’aventuriers, seule
la famille proche (parents et frère et sœurs) de Cianikh
est invitée à la cérémonie religieuse, par contre le repas sera une vraie fête.
Cianikh semble anxieuse devant la
cérémonie.
Lorsque le groupe d’aventuriers passe les tentures pour se
rendre à l’office religieux, la ;salle semble être prise dans une tornade.
Le palais se détruits pierre après pierre, tout s’envole dans un chaos confus.
Les aventuriers se voient partir dans les airs. Ils y perdent la notion du
temps et de l’espace. Le froid commence à les assaillir quand ils se réveillent
dans de la neige fraîche.
Les aventuriers se retrouveront à cette même place après
avoir subit les épreuves d’anoblissement (voir la fin du scénario). Cette fois
les invités présents pour la cérémonie sont très nombreux. Par contre il se
sera écoulé un peu plus que le temps du scénario entre les deux entrée dans la
salle de cérémonie. Si tous les tests ont été franchis sans problèmes, un
envoyé du roi viendra félicité le groupe d’aventuriers.
Chaque membre du groupe aura un rang qui dépendra de sa
participation dans la réussite des épreuves. L’homme qui les décorera est le
vieillard qu’ils auront défendu à la dernière épreuve : c’est le doyen des
Paladins.
- L’enfant des neiges
Les aventuriers se réveillent éparpillés dans de la neige
fraîche. Ils trouvent au milieu d’eux un papier : « Ainsi
éloignés, vous nous laisserez un peu tranquille.
Bonne fin.
La Guilde ».
Cianikh déclare
aussitôt qu’il faut vite redescendre vers le sud : un pays plat plein de
neige, ça doit être Manda.
La première rencontre de notre groupe sera une caravane
détruite dans laquelle un bébé braille : l’enfant des neiges. Il suit un
scénario modifié de Casus Belli : L’enfant des sables (pour le moment j’ai
perdu toutes références). Ce bébé est en fait un Dragon d’argent fort
capricieux. Il est plus connu sous sa forme de vieux
sage elfe : Olas, maître de la confrérie du Dragon d’Argent..
Après cette épreuve, si les aventuriers la réussissent, ils
deviennent eux aussi membres de la confrérie et leur bonté a été testée. Le
dragon porte les aventuriers vers le sud et les laissent à la limite Nord de la
zone habitée de Manda : une mine d’or.
- Conflit de voisinage
Carte du pays de Greugrab
- Ar-Oïn
Un nain arrive vers eux, tourne autour d’eux en se cachant
le plus possible. Au bout de 20 min, il vient à leur rencontre :
« Je me présente, Ar-Oïn de Greugrab, chef du village
nain de Greugrab. Vous m’avez m’air bon, alors, je vies demander votre aide.
Des elfes nous ont voler par traîtrise notre mine d’or. Oui, la notre !
Pauvre nain innocents ! Ils l’ont remplie d’un gaz affreux, et nous avons
tous du en sortir rapidement ». Après cela, Ar-Oin, leur propose d’aller
dans son village. Si les aventuriers essaient de comprendre ce qui c’est
passer, le nain pourra dire :
« Il ont dut se servir de l’aération naturelle de la
mine car le lendemain, elle fumait encore. Je l’ai vu ! J’ai fait monter
des gardes à la sortie, ça fait un mois qu’ils disent qu’elle
fume ! ». Il pourra encore rajouter :
« On sait que ce sont des traîtres ces elfes car voici
l’histoire : Ils trouvaient anormal que ce soit nous les nains qui
exploitent la mine. Ils ont fait un marché : On devait faire un concours.
Chacun avait la mine une semaine & si ils en extrayaient au moins autant
que nous, ils pourraient eux aussi en extraire. On a fait la première semaine
et eux la seconde. Au bout de 4 jours, ils n’avaient pratiquement rien extrait.
Au début du 5ème jour, on a entendu des drôles de bruits très forts,
puis ils ont sorti plein de minerai. Le 6ème, ça a recommencé :
il allaient presque nous rattraper. Nous avons décidé de les espionner le 7ème
jour. Comme on connaît très bien la mine, un groupe : moi, le prêtre et
mon second, a pu s’introduire dans la mine au nez des elfes. On a attendu, au
début, il n’y avait que des elfes qui déblayaient des tas de minerais. Ensuite,
un groupe est arrivé, avec à sa tête un elfe inconnu bien habillé. Cet elfe a
commencé a sortir des composant de son sac : il allait lancé un sort.
Notre prêtre s’est préparé à lancer un sort de silence. Dès que l’elfe a
commencé ses incantations le sort de silence est parti. Grâce à ce silence, le
mage elfe a rater son sort et nous somme sorti sans nous faire entendre. Nous
avions vu que les elfes étaient des traites : ils ont fait appel à de la
magie pour essayer de nous battre et en plus ils ont fait appel à une aide extérieure.
Les elfes ont donc perdu. On n’a pas dit qu’on savait qu’ils avaient essayer de
tricher. A la fin de la réunion, les elfes ont dit que la bataille n’avait pas
été loyale, c’est pour cela qu’ils l’ont perdu. Puis ils ont déclarés qu’ils
exploiteraient quand même la mine. »
- Le village nain
Après avoir écouté Ar-Oin, le groupe arrive au village de
Greugrab où ils sont accueilli en héros. On leur racontera encore les histoires
de Ar-Oïn, et rajoutera aussi : « C’est tout d’abord nous qui avions
trouvé ce gisement. En rusant, les elfes sont arrivés à nous sortir les vers du
nez. Avant qu’on ne réagissent, il savaient déjà commencé à exploiter le filon.
Un groupe de vaillants combattants est arrivé et nous a libéré le filon. Depuis
ce temps, les elfes font tout pour retrouver la mine. On n’aurait pas du être
d’accord avec leur marché, car c’est là que les elfes déloyaux ont pu mettre au
point leur diabolique invasion de la mine. »
Notre groupe pourra aussi entendre les arguments
suivants : « Vu l’activité du village elfe, on suppose qu’ils
exploitent notre mine. Mais comment font-ils ? »
- Le village Elfes
Si les aventuriers vont parlementer ou discuter avec les
elfes, ceux ont leur propre arguments. Voici la liste de ces arguments :
- « Nous faisons de plus belles choses que les nains
avec l’or »
- « Les nains n’aiment pas la magie car ils ne savent
pas l’utiliser. Mais il n’y a rien de mal dans cet art. Rien nous empêchait de
l’utiliser pour notre marché avec les nains »
- « Avec notre marché, aucun des deux clans n’était
lésé : l’un après l’autre pouvait exploiter la mine a sa guise. Comme les
nains ne veulent pas partager, on a tous pris. Tant pis pour eux ! »
- « Nous vous récompenserons si vous nous laissez
exploiter la mine » : ils montrent des chefs d’œuvres en or pour 1000 PO.
- « On n’allait pas permettre à ces gros grognons
d’exploiter la mine que nous avons creuser. Nous au moins, on sait profiter
dignement de la vie »
- « Pour prendre un bien aux nains rien n’est
répréhensible »
- La mine
Elle s’étend sur trois niveaux (cf carte :
noir haut, rouge intermédiaire et vert, le bas). Elle a deux entrées
reconnues : en haut et à l’étage intermédiaire. Le elfes rentrent par le
cours d’eau au niveau inférieur qui est une rivière souterraine qui par de leur
village.
Les deux entrées connues des nains sont obstruées par des
feux alimentés de bois et de substances fumigènes et de substances olfactives.
- Dénouement
Les nains ne font que de l’extraction. Les elfes font un peu
d’extraction, mais font surtout des sculptures. Les elfes ont besoin de très
peu d’or pour leur art et les nains peuvent bien prendre un petit congés de
temps en temps. Les aventuriers doivent faire comprendre a chacun des deux
camps qu’il est gagnant et que l’autre est un peu lésé. Le résultat idéal me
semble être une semaine d’extraction pour les elfes et 3 pour les nains en
laissant le haut (plus petit) aux elfes et le reste aux nains. Chacun sera
responsable de sa partie et pourra profiter du temps hors de la mine soit pour
sculpter soit pour préparer les poutres, réparer les outils…
Le meilleur serai bien sur de faire sculpter aux elfes l’or
extrait par les nains. Les haines raciales sont très dures à vaincre !
- Le retours
Sur le chemin du retour, un vieillard viendra demander leur
aide en rêve éveillé. Tous les aventuriers entendront un cri leur disant de
venir dans les ruines sur la gauche du chemin : « Mes braves, je vois
sur vous l’insigne du Dragon d’Argent. Je peux vous demander de venir m’aider.
Je suis mourant et je ne veux pas qu’ils s’emparent de mon trésor. Venez vite
me voir, je suis dans la grande maison au centre des ruines. Venez vite, je les
sens arriver ».
A 1 km vers la gauche e la route, les aventuriers devinent
les ruines d’un village. Dès que les aventuriers aperçoivent la grande maison
au centre des ruines, ils entendent des bruits d’hommes arrivant en armes. Nos
aventuriers arrivent les premiers dans la maison et voient un vieillard
accroché à un coffre qui gémit : « Ils arrivent ! Je les sens,
ils sont déjà dans le village ! Aidez-moi ouis je vous informerai sur le
contenu du coffre. Aidez-moi je vous en supplie ! Ils détruiraient
l’équilibre de notre monde s’ils prennent ce coffre ! Je suis trop faible
pour les retenir encore une autre fois ! ». Si les aventuriers
vérifient, notre vieil homme est bon loyal. A la fin de son discourt on entent
des cris devant la maison : « il est là : tuons-le et prenons
son coffre ».
Devant la porte, arrivent 10 guerriers niveau 1 en armure de
côte de maille.
Le scénario sera toujours le même :
La motivation des guerriers est de prendre le coffre afin
d’avoir une énorme récompense. Ils le crient au combat pour se motiver :
« Moi avec cet argent, je me ferai construire un château »,
« Moi, avec cet argent, j’achète la ville de… »,…
Dès que le dernier guerrier est mort il en arrive 1D10+5
autres du niveau supérieur. Ce jusqu’à la prise du trésor, la mort où l’abandon
du combat de nos aventuriers.
Dès un aventurier mœurs, il se retrouve dans la salle de
noce et est aussitôt glorifié pour son courage. Si un aventurier démissionne il
sera bien accueillit s’il est presque mort où s’il est le dernier encore
vivant. Par contre, il sera très mal accueillit si, pour le moment, aucun de ses
camarades n’est déjà tombé. Dès que les guerriers sont en dehors du village
avec le trésor, le reste du groupe revient dans la salle de mariage.